ECJS POUR ELO

salut a tous,
je pose l'ECJS, ce que j'ai pu faire pour le moment pour elo pour qu'elle puisse commencer la mise en page,
je finirai ce soir tard ou demain

++ bisous



Resume:

Le premier Mars a Uckange, en Moselle, une fillette est poignardée. Son petit frère âgé de 5 ans avoue avoir porté le coup sur sa soeur car elle ne lui avais pas prêter sa console de jeux. Quelques jours plus tard, on découvre que le coup n'a pu être porté par le petit garçon car le poignard n'aurais pu être si enfoncer s'il avais lui-même pris le couteau.
Après quelques recherches, la police accusa la maman du coup de poignard. Elle explique ce coup de folie par la colère et la douleur d'un coup que lui avais donné sa fille dans le ventre a l'endroit ou elle venais de se faire opérer.
Depuis le drame la famille est placée sous un contrôle judiciaire strict.


analyse
Nous allons analyser trois articles de presse nationale a propos de ce sujet, («TF1», «le Figaro» et «l'Union»). On constate dans un premier temps que tous les articles que nous avons sélectionnés qui parlent de la fillette poignardée a Uckange sont subjectifs, ils ne transmettent aucun avis.

Chacun des textes appuie sur un angle précis du drame, TF1 porte la majorité de son récit sur la justice, en effet, nous pouvons trouver son champ lexical avec des mots comme «ministère de la justice» ,«garde a vue», «expertise medicale» ou encore «gendarmes». Cet écrit veut nous montrer que la justice est raisonnée. Ici, il paraît un minimum que la mère soit placée sous haute surveillance, l'article justifie la décision du juge.
Le Figaro présente une situation de doute et de pitié, ce texte a été écrit avant que la police apprenne que la mère était coupable. Nous avons pris un article a ce moment précis pour le comparer aux autres, voir l'évolution que peux avoir la presse avec quelques informations qui changent tout d'une histoire. On essaie dans ce récit de trouver des justifications au drame. Pour l'instant, le prétexte serais la situation familiale et le mode de vie de l'enfant, on voit que cet accident s'est produit dans «une famille monoparentale de cette cité ouvrière du bassin sidérurgique lorrain». L'auteur appuie sur les sentiments du lecteur pour l'inciter a s'intéresser a l'histoire et a lire les prochaines informations a ce sujet, il crée un suspense.
Dans le rapport de l'union, l'enquête judiciaire justifie la décision du juge. Ici, c'est grâce a de multiples preuves. Le but de cet article n'a pas uniquement de rapport avec le drame. Il nous montre l'efficacité de la police et nous donne confiance avec des preuves, grâce a ce genre d'article, la population de France pourrais se sentir plus en sécurité dans le pays, ce texte met en valeur l'utilité de la police.

En finalité, a travers la presse passe de nombreuses informations qui peuvent être aussi bien bénéfique que mauvaises pour la société. Quelques indices en plus suffisent a la presse de changer complètement une histoire, c'est dans ce genre de cas que la presse en profite pour laisser passer des idées car le lecteur ne s'en rends pas compte tant il est concentré sur le fait raconté.


article perso (debut):

Horreur a Uckange, un accident presque mortel.

Le premier Mars dernier est arrivé a l'hopital une jeune fillette d'une dizaines d'années. Son jeune frère de 5 l'a poignardée car elle ne voulais pas lui prêter sa console de jeux affirme la mère.

Voilà, je t'ai corrigé les fautes par solidarité

"Le premier Mars a Uckange, en Moselle, une fillette est poignardée. Son petit frère âgé de 5 ans avoue avoir porté le coup sur sa soeur car elle ne lui avait pas prêté sa console de jeux. Quelques jours plus tard, on découvre que le coup n'a pu être porté par le petit garçon car le poignard n'aurais pu être si enfoncé s'il avait lui-même prit le couteau.
Après quelques recherches, la police accusa la maman du coup de poignard. Elle explique ce coup de folie par la colère et la douleur d'un coup que lui avais donné sa fille dans le ventre à l'endroit où elle venait de se faire opérer.
Depuis le drame la famille est placée sous un contrôle judiciaire strict.


analyse
Nous allons analyser trois articles de presse nationale a propos de ce sujet, («TF1», «le Figaro» et «l'Union»). On constate dans un premier temps que tous les articles que nous avons sélectionnés qui parlent de la fillette poignardée a Uckange sont subjectifs, ils ne transmettent aucun avis.

Chacun des textes appuie sur un angle précis du drame, TF1 porte la majorité de son récit sur la justice, en effet, nous pouvons trouver son champ lexical avec des mots comme «ministère de la justice» ,«garde a vue», «expertise medicale» ou encore «gendarmes». Cet écrit veut nous montrer que la justice est raisonnée. Ici, il paraît un minimum que la mère soit placée sous haute surveillance, l'article justifie la décision du juge.
Le Figaro présente une situation de doute et de pitié, ce texte a été écrit avant que la police apprenne que la mère était coupable. Nous avons pris un article à ce moment précis pour le comparer aux autres, voir l'évolution que peux avoir la presse avec quelques informations qui changent tout d'une histoire. On essaie dans ce récit de trouver des justifications au drame. Pour l'instant, le prétexte serait la situation familiale et le mode de vie de l'enfant, on voit que cet accident s'est produit dans «une famille monoparentale de cette cité ouvrière du bassin sidérurgique lorrain». L'auteur appuie sur les sentiments du lecteur pour l'inciter à s'intéresser a l'histoire et à lire les prochaines informations à ce sujet, il créé un suspense.
Dans le rapport de l'Union, l'enquête judiciaire justifie la décision du juge. Ici, c'est grâce à de multiples preuves. Le but de cet article n'a pas uniquement de rapport avec le drame. Il nous montre l'efficacité de la police et nous donne confiance avec des preuves, grâce à ce genre d'article, la population de France pourrait se sentir plus en sécurité dans le pays, ce texte met en valeur l'utilité de la police.

En finalité, à travers la presse passe de nombreuses informations qui peuvent être aussi bien bénéfiques que mauvaises pour la société. Quelques indices en plus suffisent à la presse pour changer complètement une histoire, c'est dans ce genre de cas que la presse en profite pour laisser passer des idées car le lecteur ne s'en rends pas compte tant il est concentré sur le fait raconté.


article perso (debut):

Horreur a Uckange, un accident presque mortel.

Le premier Mars dernier est arrivé a l'hopital une jeune fillette d'une dizaines d'années. Son jeune frère de 5 l'a poignardée car elle ne voulait pas lui prêter sa console de jeux affirme la mère."

Par contre s'il en reste, faut pas venir me taper dessus.

Je ne suis pas dans ce groupe mais je rajoute quand même ma sauce !
Pas mal du tout axel, c'est très bien structuré et le début de l'article perso promet qu'il va être captivant.
De plus, j'adore le sujet ! Vive le" geek" de 5 ans.
@Seb : Voilà un gentil camarade.

Je relève : Le premier Mars dernier est arrivé a l'hopital une jeune fillette d'une dizaines d'années. "Son jeune frère de 5 ans l'a poignardée car elle ne voulait pas lui prêter sa console de jeux affirme la mère."

D'ailleurs je viens de finir notre magazine, j'ai mis le début dans la partie graphisme, il faut télécharger les différents parties car elles sont relativement lourde en espace de stockage donc elle ne passe pas sur servimg ou imagshack.

salut a tous,

je tiens a te dire merci beaucoup sébastien,

Je n'ai pas eu beaucoup de temps pour travailler tout sa, j'y suis depuis 5H de l'aprem jusqu'a 19H et j'ai eu goshindo ce soir, donc je ne me suis pas pencher sur les fautes d'orthographes...

et merci a toi mario pour tes compliment et ta correction, sa me motive! ^^

Voici le reste de l'histoire:


Le debut clique sur spoiler

Spoiler:

Article personnel :

Horreur a Uckange, un accident presque mortel.

Le premier Mars dernier est arrivé a l'hôpital une jeune fillette d'une dizaines d'années. Son jeune frère de 5 ans l'a poignardée car elle ne voulait pas lui prêter sa console de jeux affirme la mère qui dormais lorsqu'elle a entendu les cris de sa fille. Les médecins sont formelles, aucun organe vital n'a été toucher malgré que le couteau a effleurer un poumon de la fillette, elle sera d'ici quelques jours saine et sauve. A la suite de soupçons portés par la brigade qui s'occupais de l'enquête, les spécialistes révélèrent que « le coup de couteau n'a pu être donné par le petit frère », en effet, « la taille et la musculature du petit garçon ne peuvent correspondre », affirme la police, le coup à été porté en plongée sur le buste de la victime, et le couteau n'aurais pu être aussi enfoncer avec la force d'un enfant de 5 ans. Le dossier est donc remis à 0 sur la table de l'inspecteur. Pour reconstituer les faits, la police pars sur les lieux de l'accident. Les preuves sont nombreuses, les officiers reviennent dans le bureau de l'inspecteur et affirment que « c'est la mère qui a porter le coup ».
Ce fut un accident, selon l'accusée, la fillette, après s'être disputer avec sa maman lui a donner un coup de pied dans le ventre a l'endroit ou elle venait de se faire opérer. L'adulte pris de folie par la colère et la douleur lui porta par accident le couteau dans le buste de l'enfant. Aujourd'hui, la mère a été jugée, elle gardera ses enfants sous haut contrôle judiciaire strict afin de ne pas renouveler un tel acte qui pourrais bien être mortel.





Bon boulot elo, j'attends le tout pour imprimer
Bonne chance a vous pour vos sujets

C'est décidé, après le jeu, je programme un nouveau correcteur orthographique Seb 1.0.

Sinon, Axel, cela m'a l'air vraiment pas mal. Tu compte le faire sur papier ou un autre format ?

Je fais tout les textes et eloise fais la mise en page

Seb 1.0. en cours de correction :

Le premier mars dernier est arrivée à l'hôpital une jeune fillette d'une dizaines d'années. Son jeune frère de 5 ans l'a poignardée car elle ne voulait pas lui prêter sa console de jeux affirme la mère qui dormait lorsqu'elle a entendu les cris de sa fille. Les médecins sont formels (formelles si les médecins n'étaient que des femmes), aucun organe vital n'a été touché malgré que le couteau a effleuré un poumon de la fillette, elle sera d'ici quelques jours saine et sauve. A la suite de soupçons portés par la brigade qui s'occupait de l'enquête, les spécialistes révélèrent que « le coup de couteau n'a pu être donné par le petit frère », en effet, « la taille et la musculature du petit garçon ne peuvent correspondre », affirme la police, le coup à été porté en plongé sur le buste de la victime, et le couteau n'aurait pu être aussi enfoncé avec la force d'un enfant de 5 ans. Le dossier est donc remis à 0 sur la table de l'inspecteur. Pour reconstituer les faits, la police part sur les lieux de l'accident. Les preuves sont nombreuses, les officiers reviennent dans le bureau de l'inspecteur et affirment que « c'est la mère qui a porté le coup ».
Ce fut un accident, selon l'accusée, la fillette, après s'être disputée avec sa maman lui a donné un coup de pied dans le ventre à l'endroit où elle venait de se faire opérer. L'adulte prise de folie par la colère et la douleur lui porta par accident le couteau dans le buste. Aujourd'hui, la mère a été jugée, elle gardera ses enfants sous haut contrôle judiciaire strict afin de ne pas renouveler un tel acte qui pourrait bien être mortel.

Seb 1.0. a terminé. Maintenant Seb1.0. va faire SON Ecjs
@+